02) Visite express de Marseille (France)

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Guy à son tour disparait dans la foule qui circule dans la gare et réussi lui aussi à se faufiler jusqu'au train. Le quai est bondé, et les deux aventuriers doivent se frayer un chemin à travers les badauds qui sortent du train et commencent à se diriger vers la sortie, se mettant dans le chemin des deux policiers qui essaient tant bien que mal de se diriger vers les wagons à quai. Guy et Adrien, eux, se faufilent avec aisance et finissent par monter en voiture. Ils sont désormais à bord, bien que le train ne parte que dans quelques temps.

Finalement, les deux aventuriers se sont retrouvés dans une cabine encore vide pour souffler un peu. Lorsque le train ferme ses portes, ils aperçoivent les deux balourds qui les cherchent encore en agitant des photos sous le nez des passants.

La caméra film la montée des contrôleurs, le coup de sifflet puis le départ du train qui va les emmener en dehors de France.

Nos deux compères sont en train d'étendre les jambes et de se féliciter mutuellement pour leur échappée belle lorsqu'ils entendent un cri de femme provenant du couloir, suivi d'un bruit de verre brisé.

…Adrien et Guy n’avaient rien trouvé de mieux que de se faire le plus discret possible en espérant que le train parte au plus vite. Ils virent à leur plus grande satisfaction que les gens avaient tôt fait d’embarquer, alors quel ne fut pas leur soulagement quand la locomotive démarra sans plus attendre. Bien qu’intrigués par le fait que les cognes semblaient avoir des photos d’eux, les deux hommes étaient trop heureux de pouvoir souffler un temps pour ne pas profiter d’un repos bien mérité…

Mais ce n’est hélas qu’un court répit : Tandis qu’ils s’apprêtent à rejoindre la cabine indiquée sur leurs billets, le cri d’une femme et un bruit de verre brisé mettent déjà fin à la trêve des deux aventuriers. "Bordel !" La tension est à nouveau à son paroxysme !

Plan général qui nous montre Adrien se dressant d’un bond avant de saisir le colis, objet de toutes les convoitises, pour le tendre à Guy sans piper mot. L’Irlandais se contente d’hocher la tête en lançant un regard complice à son collègue.

* Clic *

Adrien a une main dans le dos quand il ouvre la porte du compartiment, et le bruit métallique qui vient de se faire entendre nous indique qu’il a armé le chien de son revolver !

Va encore falloir improviser grommelle-t-il intérieurement au moment où il risque un regard dans le couloir.

Guy s'était assis le plus confortablement possible sur la banquette et congratulait son collègue pour se travail ....
Mais le répit fut de courte durée et dès que le cri se fit entendre, Adrien était debout et le colis bien placé sous le manteau de Guy qui avait sortit une lame, soigneusement dissimulé dans sa manche .....

*Clic*

Un clin d'oeil à Adrien et tout alla très vite...

D'un coup d'oeil, Adrien repère l'un des deux policiers qu'ils pensaient avoir laissé à Marseilles remonter le couloir. Le bruit de verre provient de la porte d'une des cabines contre laquelle ils viennent de jeter violemment un contrôleur. L'un d'eux a sorti son pistolet.

[Adrien, jet de Perception + Discrétion
Seuil 15]

A la vue des deux policiers qui ne lâchent pas le morceau, Adrien détourne aussitôt son regard et recule d’un pas afin de refermer la porte du compartiment pour la verrouiller, le tout en espérant que ces maudits limiers ne le repèrent pas tout de suite.
_ "Toujours cette foutue paire de cognes" murmure-t-il alors à Guy.


Jet de Discrétion

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Alors qu'Adrien referme la porte du compartiment, l'un des deux gorilles alerté par le bruit aperçoit une fraction de seconde la tête de l'Irlandais. C'est suffisant ! Il se lance à grandes enjambées à travers le couloir et met un coup de pied dans la poignée pour faire glisser la porte sans se mettre à découvert. Mais Adrien vient de la fermer, elle tient donc bon, mais pour combien de temps ?

Round 1 : Action !

Que faites vous ?

Adrien réagit au quart de tour. Ignorant ses vieux démons qui lui intiment de tirer au travers de la porte, il se précipite sur la fenêtre du compartiment pour l’ouvrir. Le vacarme que produit le train gagne alors la cabine, couvrant les quelques mots que les deux aventuriers se pressent d’échanger. On peut voir Adrien jeter à Guy le long étui qu’il trimballait depuis Lyon :
_ "C’est une carabine !" braille-t-il afin que la cacophonie ambiante ne couvre pas ce qu’il dit à son collègue. "Vous en aurez besoin !" Adrien passe en bandoulière le précieux colis qu’il vient de reprendre à Guy avant de conclure. "Je vais à l’avant du train et vous à l’arrière ! Bonne chance !!"

Ness n’a même pas le temps de répondre que l’Irlandais a déjà franchi la fenêtre de la cabine, son chapeau entre les dents, fin prêt à grimper sur le toit alors que le sol défile à une vitesse prodigieuse sous ses pieds qui se retrouvent maintenant dans le vide. S’ensuit un travelling arrière qui aboutit sur le train vu du ciel. On voit Adrien qui parvient à se hisser tant bien que mal sur le wagon. Accroupi et arme à la main, le voilà qui se dirige précautionneusement vers l’avant du train…


Dépense d’un point d’Eclat pour grimper sur le wagon.

Le plan d’Adrien ? C’est de neutraliser les deux argousins coûte que coûte. Pour ça il a pensé que Ness et lui devaient se séparer, obligeant les flics à faire de même car l’étui de la carabine qu’il a confié à son collègue peut faire penser au colis tant convoité… Affaire à suivre, incessamment sous peu !!

Après un rapide coup d'oeil à la porte en train de se faire démonter par l'homme en uniforme, Guy suit son camarade et tous deux se retrouvent sur le toit du train.

Plan de l'intérieur de la cabine où la poignée vole, permettant aux deux larrons d'y pénétrer.

Guy et Adrien se séparent. L'Irlandais commence à ramper vers l'avant tandis que le Français se dirige vers l'arrière. Après quelques secondes, en jetant un coup d'oeil en arrière, Adrien aperçoit une main prendre place sur le dessus du train. Une deuxième suit, puis une troisième. Le premier larron se hisse sur le toit. Son compagnon tente de faire de même, mais il perd l'équilibre et chute dans un champ longeant la voie. Il n'est pas prêt de se relever.

Guy est déjà hors de vue, ayant descendu l'échelle en bout de wagon. Le deuxième homme se stabilise, à plat ventre sur le toit, et ressort son pistolet, avec visiblement la ferme intention de l'utiliser contre Adrien.

Adrien voit que le type s’apprête à l’aligner. "Chaloperie" grogne-t-il alors, son chapeau toujours dans la gueule. Ni une ni deux ! Le voilà qui met les bouchées doubles pour se précipiter au bout du wagon.

Tenace ce type, car faut être sacrément maboul pour se balader sur un train sourit l’Irlandais comme pour conjurer le mauvais sort, avant de bondir droit devant de façon à glisser jusqu’à l’échelle qui le verra se mettre à couvert !

Alors qu’il se jette en avant, le champ nous montre donc le visage d’Adrien aux yeux ronds comme des billes tandis que derrière lui on voit l’homme allongé qui va tirer, d’autant plus qu’un contre-champ nous indique qu’il a l’aventurier dans sa ligne de mire !!


Jet d’Esquive, ou d’Acrobatie, voire d’Athlétisme ( ?) ^^

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Le larron commence à tirer, mais avec la vitesse, ses deux cartouches manquent leur cible. Il n'a pas le temps d'en tirer une troisième qu'une secousse fait branler le train. Adrien perd l'équilibre et chute, disparaissant hors du champ de la caméra... Est-il tombé ? Est-il mort ?

Le suspense est insoutenable !

La caméra balaye le haut du wagon et aucun signe de l’aventurier, à moins que… Zoom sur un détail qui interpelle l’œil du spectateur ; une main, ou plutôt un poing crispé, est solidement cramponnée au rebord du wagon ! Plongée sur Adrien qui est suspendu dans le vide à la force de son seul poignet, son autre main ayant récupéré de justesse le colis qui a manqué de lui échapper :
_ "Chaloperie" grogne-t-il toujours, son couvre chef encore entre les dents.

Il est hors de question pour Adrien de remonter sur le toit du wagon étant donné que l’ordure doit être tranquillement allongée, prête à le dessouder dès qu’il montrera le bout de son nez. De toute façon, se hisser là haut est loin d’être aisé vu la situation désastreuse dans laquelle il se trouve. Heureusement, alors qu’il tentait vainement de trouver de quoi poser ses pieds pour prendre appui, un homme ouvre la fenêtre et lui tend la main pour l’aider à rejoindre le compartiment devant lequel il vient de se donner en spectacle bien malgré lui. Trop heureux d’accepter l’invitation, Adrien tend son bras mais sans pour autant lâcher le colis. Le type le saisit par-dessous l’épaule, l’aidant ainsi à passer sa première jambe à l’intérieur de la cabine. Une acrobatie plus tard, voilà l’Irlandais dans le compartiment.

_ "Merchi bien" dit Adrien avant de se rendre compte qu’il a toujours son chapeau dans le bec. Il s’empresse alors de le remettre sur sa tête, sourire aux lèvres. "Ca m’apprendra à acheter un billet premier prix."

Plan général de l’intérieur du compartiment alors qu’Adrien s’apprête déjà à regagner le couloir, non sans avoir au préalable jeté un coup d’œil aux personnes qui se trouvent ici tout en leur adressant un signe de tête à l’occasion. L’aventurier se veut prudent, surtout maintenant qu’il a perdu son revolver durant sa chute afin de rattraper le colis qu’il vient d’ailleurs de repasser dans son dos.

Pour ce qui est de la pourriture qui est au-dessus, Adrien pense avoir un plan mais il va falloir agir rapidement…

Dans la cabine se trouvent un homme et une femme, milieu de la vingtaine environ, habillés richement. Ils rient nerveusement au trait d'humour d'Adrien, mais l'Irlandais peut ressentir qu'ils sont un peu secoués. Voir ce pauvre homme ainsi en danger de mort semble les avoir un peu chamboulés.

Adrien quitte le compartiment et ferme la porte derrière lui après leur avoir dit de ne pas quitter leur compartiment.

Plan sur le toit du train où le poursuivant n'a pas bougé. Après quelques instants, il progresse en rampant jusqu'à l'endroit où l'Irlandais est tombé et ne voit personne.

- Hé hé ! J'l'ai eu, ricane-t-il.

Il continue à ramper jusqu'à atteindre l'échelle au bout du wagon et commence à descendre.

[Jet de Perception + Vigilance,
Seuil 14]

En dessous, non loin de cette même échelle, on retrouve Adrien via un plan serré sur son visage qui nous montre que le personnage est tendu. En bout de wagon, il se tient à côté du frein d’urgence prêt à l’actionner pour envoyer valdinguer le gus au moment opportun. Pour autant, de nombreuses pensées lui traversent l’esprit : faire arrêter le train pourrait être problématique, et ce taré est quand même en uniforme… En même temps il a agressé le contrôleur…

Peu importe, Adrien a tôt fait de se ressaisir. Le voilà à l’affût alors qu’un gros plan rivé sur son regard témoigne de sa détermination !


Jet de Vigilance

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Gros plan sur le visage concentré d'Adrien. La caméra passe sur le pied de l'homme qui cherche le premier barreau de l'échelle. Retour sur le visage d'Adrien qui écarquille les yeux : il l'a entendu !

L’attention d’Adrien est toute tournée vers le bruit que fait chaque pas du gendarme sur les barreaux de l’échelle. Il s’apprête à actionner le freinage d’urgence, ce qui est probablement le moyen le plus sur pour se débarrasser du gus armé, quand il se ravise soudainement.
A savoir son ennemi si proche de lui son sang ne fait qu’un tour et l’excitation du moment a tôt fait de le rattraper ; "comme au bon vieux temps" ! Insert sur la matraque qu’il vient de sortir de sa poche. Il est à présent bien décidé à en découdre avec cette crapule et à lui en faire baver, tout ça entre quatre yeux !!

Plan rapproché d’Adrien qui jette son chapeau dans le couloir avant de sortir brusquement tandis que la caméra le suit, ne perdant rien de son mouvement au moment où il abat violemment sa matraque Black Jack sur le type qui n’est même pas encore descendu de son échelle. C’est le bras du larron qu’Adrien va tenter de briser…


Jet d’Armes de mêlée

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La matraque s'abat avec fracas sur l'avant bras du policier qui se plie à un drôle d'angle. Lachant prise sous la violence du choc, il tombe sur le dos dans une position précaire entre les deux trains et se rattrappe in extremis de son bras gauche au dernier barreau de l'échelle avant de glisser, ses jambes brinqueballant dangereusement à quelques centimètres des roues. Il ne peut rien faire d'autre pour l'instant que de s'accrocher et prier pour que ses pieds ne se prennent pas dans les engrenages, ce qui entraînerait, sinon sa mort, au moins une horrible mutilation.

Adrien a les cartes en main !

Contre-plongée sur Adrien qui s’est accroupi pour passer son bras autour de l’échelle, question de sécurité. Le vent tourne se dit-il en regardant la brute qui se retrouve à son tour dans une sacrée panade :
_ "Si tu veux pas finir en bouillie, va falloir te mettre à table !!" lui hurle-t-il l’air enragé afin de couvrir les bruits assourdissants que produisent les roues des locomotives. "Pourquoi et pour qui tu bosses exactement !? Et comment vous faites pour nous filer le train comme ça !? " L’Irlandais fixe les yeux du pauvre type, un sourire malsain se dessinant alors sur son visage et le tout accompagné par de légers mouvements de la main. "Le train !? Tu saisis !? Ha ha, c’est marrant hein !? " vocifère-t-il à nouveau. "TCHOU TCHOU !!"

A voir Adrien il y a de quoi s’inquiéter pour sa santé mentale, mais en vérité ce n’est là qu’une forme d’intimidation (qui vaut ce qu'elle vaut soit dit en passant). Car le brin de folie de notre aventurier n’est rien par rapport aux soucis du flic qui est à deux doigts du trépas, une mort qui se voudrait d’ailleurs tout sauf esthétique…

L'homme est terrorisé. La caméra fait un plan sur ses pieds qui battent l'air frénétiquement. Il parvient à articuler au milieu de ses gémissements terrifiés :

- Aide- moi ! J't-en prie ! Pour l'amour de Dieu !

Face aux supplications de la brute, Adrien parvient à se maîtriser. C’est du moins ce que nous révèle le plan serré sur sa main qui vient de saisir brusquement le poignet du larron par lequel celui-ci tient encore à l’échelle. S’ensuit un échange de regard appuyé entre les deux hommes.

_ "Ne me le fait pas regretter !" lance Adrien au type, le visage grave, avant de l’agripper fermement par la ceinture au niveau du dos pour le ramener ensuite sur la passerelle, non loin de là où il vient de poser sa matraque.

Tout en exécutant ce sauvetage, l’Irlandais demeure prudent, cherchant à voir si le policier a toujours son revolver sur lui ou non. Et si l’affreux à une paire de menottes, nul doute que l’aventurier se pressera de l’entraver avec. La scène pourrait alors faire penser au jeu du gendarme et du voleur, si ce n’est que ces deux grands enfants semblent avoir inversé leur rôle.

L'homme a bien une paire de menottes et son arme dans son holster de ceinture. Encore affolé par son flirt avec la faucheuse, il n'oppose aucune résistance à l'Irlandais lorsque celui-ci le désarme et lui prend ses menottes pour les lui passer aux poignets. Une fois attaché et sans arme, l'homme tourne un visage un peu plus calme à Adrien et lui demande :

- T'aurais pas une clope ?

Adrien dissimule le revolver dans son dos, sous sa veste, et après avoir ramassé sa matraque qu’il fourre dans sa poche, il en sort de l’autre un paquet de tabac et un briquet. Une fois la cigarette roulée, il la tend au larron pour la lui coller dans le bec.

_ "Raconte-moi tout ce que tu sais" demande posément Adrien à la crapule, tout en lui allumant sa clope. "Et n’oublie rien."

Un plan général nous montre que l’aventurier a fait asseoir le pseudo flic sur la passerelle. Pour sa part, il se tient debout, à côté de la porte qui mène à l’intérieur du wagon où il jette d’ailleurs un bref coup d’œil en se demandant où peut bien être Ness. Mais un souci à la fois :
_ "Alors, je t’écoute" reprend-t-il en plongeant ses yeux dans ceux du type qui, un peu plus tôt, a manqué de le tuer.

Inutile de préciser qu'Adrien demeure donc vigilant.

Le gangster tire profondément sur sa cigarette puis laisse échapper la fumée par ses narines.

- C'est Samuel Rosier qui nous a envoyés. Il a entendu parler d'une grosse transaction faite par un rupin des beaux quartiers, un type louche qui traîne dans des affaires pas claires et qui bouge pas un orteille pour moins de cinquante mille francs. Le patron savait que c'était quelque chose de gros. Il nous a filé les costumes de poulets et des photos des colporteurs, et nous voilà. Et mon pote est sans doutes mort quelque part entre Marseilles et ici...

Il regarde le paysage passé avec un air affligé. Puis il tire à nouveau sur sa cigarette comme si sa vie en dépendait.

_ "Désolé pour ton pote mais quand on joue avec la vie des autres ; la moindre des choses c’est de mettre la sienne en jeu !" grogne Adrien en fronçant les sourcils. "Pîs qui sait, il s’en est peut-être sorti ? T’auras d’ailleurs tout le temps de le rechercher une fois que tu seras descendu de ce train…"

Le visage du gorille couvert de sueur apparaît alors à l’écran. Son regard inquiet suit l’ombre qui le recouvre peu à peu. C’est Adrien qui s’avance ! S’ensuit une contre-plongée sur l’aventurier qui affiche une mine sévère, nous mettant ainsi à la place de la brute menottée qui a toutes les raisons du monde de s’inquiéter : c’est sûr, il va le pousser hors du train !!

_ "… Mais en attendant le prochain arrêt, on va aller se poser dans une cabine" reprend Adrien tout en se penchant vers le type pour finalement l’aider à se relever. "Tranquillement" rajoute-t-il fermement. "J’ai encore quelques questions à te poser…"

Un brin soulagé, le type s’engage dans le wagon. Menottée dans le dos, Adrien tient la brute par les poignets, prêt à taquiner son bras fracturé au moindre faux pas. Les deux hommes disparaissent dans le couloir alors que la caméra recule lentement pour nous offrir une vision globale du train.