05) L'Orient Express arrive à Istanbul (Turquie)

C'était avec une certaine satisfaction que Tom vit sa deuxième balle mettre un terme à la vie de son adversaire même si les détails restaient assez moches à regarder. Voir le cerveau jailler de la boîte cranienne n'était franchement pas un spectacle sympathique à regarder
Mais le jeune agent n'avait guère le temps de se préoccuper de cela car déjà l'asiatique au couteau s'était élancé vers lui dans un assault désespéré et tenta de l'atteindre au ventre avec son coute

Tom se déplaça sur le coté droit de l'adversaire afin de le laisser passer tel un toréador pour espérer ensuite le neutraliser en douçeur en espérant avoir une petite conversation avec

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Le couteau frôle la veste de Tom qui d'un pas précis fait le mouvement parfait pour éviter la lame tout en gardant un bon angle pour contre-attaquer.

Gros plan sur le couteau qui effleure la veste de Tom qui d'un léger pas de coté esquive la charge de l'asiatique tel un toréador espagnol. Et le public s'attendait presque à voir le voir prononcer un "Olé" tellement la scène était flagrante
Mais le moment était mal choisi pour parader et le jeune agent assena un coup de crosse de son Tokarev en direction de l'arrière du crâne de son adversairen histoire de l'assommer un bon coup et mener un intérrogatoire par la suite

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Le coup s'abat lourdement sur la nuque de l'asiatique qui s'effondre de tout son long sur le sol jonché de débris.

Tom perçoit immédiatement que le quartier est en émois, des chiens aboient, des bruits de pas se font entendre ainsi que les sifflets des forces de l'ordre se précipitant vers l'origine des coups de feux.

Alors que son adversaire s'écroule au sol, Tom reprends conscience du monde qui l'entoure : des chiens hurlants, le quartier ameuté par les coups de feu mais pire encore des sifflets indiquant que les forces de l'ordre allait rappliqués. Ni une ni deux, l'américain rangea son arme dans son holster, puis récupéra le couteau de l'asiatique ainsi que le pistolet inutilisé du deuxième adversaire qu'il glissa à sa ceinture, avant de prendre l'homme qu'il voulait cuisiner sur l'épaule et se dirigeait vers la porte de derrière. Il n'avait pas envie d'expliquer la présence de son arme aux forces de l'ordres arabes et encore la raison de sa venue içi

Il se hâta donc pour trouver une sortie lui permettant de pouvoir s'éclipser ni vu ni connu de ce quartier

Tom sort de la maison discrètement, l'homme inconscient se ballotant sur son épaule. Il traverse une rue, personne, mais les bruits de pas se rapprochent rapidement. Il lui faut trouver une solution et vite. Soudain, il aperçoit non loin une maison dont les rideaux sont tirés : elle semble vide depuis quelques temps.

L'américain trouva une porte à l'arrière de la maison qui en plus donnée sur une rue. Un coup d'oeil à droite, un coup d'oeil à gauche : c'est bon il n'y a personne, il faut dire qu'un homme se baladant avec un autre sur son épaule cela pouvait attirer les curieux. Tom se dépecha de parcourir la rue mais les bruits de foule se rapprochaient et rapidement qui plus est
C'est alors qu'il remarqua une maison, rideaux tirés, jardin non entretenu : elle devait être vide. Il se hata de rentrer dans le jardin avant de contourner la maison pour y entrer par derrière, cela était un peu plus discret

Plan fixe sur l'arrière de la maison vide. Tom déboule dans le champs, son prisonnier toujours sur l'épaule. Il pousse la porte qui n'est pas vérouillée et se jette dedans, la refermant immédiatement juste au moment où une ribambelle d'agents des forces de l'ordre accoure, tous sifflets dehors. Ils sortent du champs et l'image s'estompe.